Des représentants de partis mondiaux ont dit partager la vision du Parti communiste chinois (PCC) sur une communauté de destin pour l'humanité et un monde meilleur lors d'un Dialogue de haut niveau entre le Parti communiste chinois (PCC) et des partis politiques du monde organisé jusqu'au 3 décembre à Beijing.
Organisé sur le thème "Travailler ensemble en vue d'une communauté de destin pour l'humanité et d'un monde meilleur : la responsabilité des partis politiques", cette rencontre a rassemblé plus de 600 représentants de près de 300 partis et organisations politiques de plus de 120 pays.
"La communauté de destin nous interpelle, car elle nous rappelle que quels que soit nos continents, en tant qu'êtres humains, nous avons le devoir de faire avancer l'humanité, main dans la main", et ce travail doit commencer avec les partis politiques, a confié Eric Dodo Bounguendza, secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG).
Pour Thierry Mariani, membre du bureau politique du parti français Les Républicains (LR), le monde est aujourd'hui multipolaire. "L'intérêt, c'est de travailler tous ensemble sur les problèmes qui sont communs". Les Français sont très sensibles à ce qui se passe en Chine, a-t-il indiqué dans un entretien accordé samedi à Xinhua. A ce titre, la France a constaté avec satisfaction que la Chine avait une attitude responsable face aux problèmes de l'environnement, a-t-il noté.
El Hadji Omar Youm, secrétaire exécutif de l'Alliance pour la République et directeur de cabinet du président sénégalais Macky Sall, observe que cette communauté de destin suppose le partage d'un minimum de valeurs communes, telles que la justice, la liberté, l'égalité et la tolérance. "Qui se ressemble s'assemble", glisse-t-il.
"Ce sentier est difficile", avoue-t-il, "mais il est prometteur".
Bokary Treta, président du Rassemblement pour le Mali (RPM), a exhorté les partis présents à apprendre comment bâtir un cadre d'échanges multilatéraux entre le PCC et les partis politiques africains.
Celui-ci pourrait ainsi permettre l'institutionnalisation d'une nouvelle plateforme d'échanges d'expériences sur la gouvernance, d'appropriation et de vulgarisation autour de ce thème d'une communauté de destin afin de favoriser sa compréhension, son approfondissement.
D'autres invités ont confié leurs espérances pour un monde meilleur.
La Chine "nous invite à travers le PCC à s'inspirer du rêve chinois pour faire éclore des vertus, des idées et des méthodes plus fécondes pour l'avènement d'un monde meilleur", a dit M. Youm, disant rêver d'"un monde meilleur parce que plus juste, un monde meilleur parce que plus équitable, un monde meilleur parce que plus solidaire, bref, un monde mieux gouverné".
Selon Evariste Ndayishimiye, secrétaire général du Conseil national pour la défense de la démocratie - Forces pour la défense de la démocratie (CNDD-FDD) du Burundi, la Chine et le Burundi ont le même destin et le même intérêt.
A travers ces idées de communauté de destin pour l'humanité et de monde meilleur, dit-il, la Chine a une vision claire de la vie des nations, cherchant à assurer le bien-être des peuples, ajoutant : "Cette initiative a été la bienvenue chez nous et nous pensons que nous allons travailler ensemble pour arriver à notre objectif".
Organisé sur le thème "Travailler ensemble en vue d'une communauté de destin pour l'humanité et d'un monde meilleur : la responsabilité des partis politiques", cette rencontre a rassemblé plus de 600 représentants de près de 300 partis et organisations politiques de plus de 120 pays.
"La communauté de destin nous interpelle, car elle nous rappelle que quels que soit nos continents, en tant qu'êtres humains, nous avons le devoir de faire avancer l'humanité, main dans la main", et ce travail doit commencer avec les partis politiques, a confié Eric Dodo Bounguendza, secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG).
Pour Thierry Mariani, membre du bureau politique du parti français Les Républicains (LR), le monde est aujourd'hui multipolaire. "L'intérêt, c'est de travailler tous ensemble sur les problèmes qui sont communs". Les Français sont très sensibles à ce qui se passe en Chine, a-t-il indiqué dans un entretien accordé samedi à Xinhua. A ce titre, la France a constaté avec satisfaction que la Chine avait une attitude responsable face aux problèmes de l'environnement, a-t-il noté.
El Hadji Omar Youm, secrétaire exécutif de l'Alliance pour la République et directeur de cabinet du président sénégalais Macky Sall, observe que cette communauté de destin suppose le partage d'un minimum de valeurs communes, telles que la justice, la liberté, l'égalité et la tolérance. "Qui se ressemble s'assemble", glisse-t-il.
"Ce sentier est difficile", avoue-t-il, "mais il est prometteur".
Bokary Treta, président du Rassemblement pour le Mali (RPM), a exhorté les partis présents à apprendre comment bâtir un cadre d'échanges multilatéraux entre le PCC et les partis politiques africains.
Celui-ci pourrait ainsi permettre l'institutionnalisation d'une nouvelle plateforme d'échanges d'expériences sur la gouvernance, d'appropriation et de vulgarisation autour de ce thème d'une communauté de destin afin de favoriser sa compréhension, son approfondissement.
D'autres invités ont confié leurs espérances pour un monde meilleur.
La Chine "nous invite à travers le PCC à s'inspirer du rêve chinois pour faire éclore des vertus, des idées et des méthodes plus fécondes pour l'avènement d'un monde meilleur", a dit M. Youm, disant rêver d'"un monde meilleur parce que plus juste, un monde meilleur parce que plus équitable, un monde meilleur parce que plus solidaire, bref, un monde mieux gouverné".
Selon Evariste Ndayishimiye, secrétaire général du Conseil national pour la défense de la démocratie - Forces pour la défense de la démocratie (CNDD-FDD) du Burundi, la Chine et le Burundi ont le même destin et le même intérêt.
A travers ces idées de communauté de destin pour l'humanité et de monde meilleur, dit-il, la Chine a une vision claire de la vie des nations, cherchant à assurer le bien-être des peuples, ajoutant : "Cette initiative a été la bienvenue chez nous et nous pensons que nous allons travailler ensemble pour arriver à notre objectif".
French.china.org.cn |le 02-12-2017
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